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Tout dabord, sachez que vous aussi pouvez faire l'histoire de vos personnages et mettre votre histoire sur ce topic.
Avant détre le roi sorcier, Yeurl était un chevalier sur sang-froid, enfin le commandant dune unité de 2 000 autre chevalier sur sang-froid. A l'époque un dénomée Malékith (trés connu dans le monde entier) était le roi sorcier...jusqua que Malékith, promu Yeurl au rang de roi sorcier, pour preuve de grande noblesse dans cette bataille :
La journée s'annoncait plutot belle. Monté sur son sang-froid, caressant d'un air absent la texture rugueuse de sa selle en peau d'orque, le Seigneur Yeurl observait l'armée des humains déployée devant lui.
"Crois tu qu'ils songent sérieusement a nous combattre ?"
demanda-t-il en se tournant vers Khalek, son conseiller.
"Il me semble seigneur," répondit Khalek d'une voix douce, laissant trainer son regard sur les armées des terres humaines appelaient Bretagne. "Ils ont de la cavalerie, sire, et nous sommmes a découvert."
"En effet," répliqua Yeurl en réprimant son envie de bailler. "Fais amener les esclaves, Khalek."
"Sire ?" Le visage du conseiller était comme a l'accoutumée denué de toute expression, mais le ton de sa voix fit sourciller le jeune elfe noir.
"Cela te pose-t-il un quelconque probléme ??" s'enquit-il d'u ton paisible.
"Non, seigneur Yeurl," réonpondit promptement Khalek. "Je suis simplement curieux de savoir quel plan astucieux vous avez imaginé."
"Fais amener les esclaves et tu le verras bien, impatient conseiller," lui lanca Yeurl en souriant d'un air mauvais.
L'ordre fut donné et peu aprés, cinq cents esclaves étaient poussés sur le champ de bataille par les fouets de leurs gardiens.
"Laissez-les partir ! lanca Yeurl, et les cordes qui entravaient les esclaves furent coupées. Mais ceux ci tournaient en rond, ne sachant que faire. "Fuyez, bandes de vermines !" hurla Yeurl en langue humaine, debout sur ces étriers et leur faisant signe de s'éloigner.
Les esclaves lui jetérent un dernier regard apeuré et se mirent a courir vers les lignes bretognes.
"Seigneur !" protesta Khalek. "Songez donc a ceux que vous perdez dans cette opération !"
"Khalek, mon vieil ami," expliqua Yeurl comme s'il parlait a un humain stupide, " ce que l'on gagne na aucun valeur si on ne survit pas pour en profiter."
"Bien sur, noble seigneur," acquiesa lentement Khalek.
"Quel grave manque de clairvoyance de ma part."
Yeurl se tourna vers Saradain, qui dirigeait les arbalétriers et lui fit signe de la téte. L'elfe noir leva la main et une centaine d'arbalétes a répétition furent épaulées. Le bars de Saradain retomba et l'air s'emplit d'une pluie de carreaux qui criblérent les esclaves en fuite :
les salves se succédérent rapidement, abattant toujours plus d'humains, ralenti par leurs camarades morts sur lesquels ils trébuchaient. Un homme particuliérement agile ou chanceux courait encore, et bientot les acclamations de l'amée Bretogne résonnèrent sur la plaine pour l'encourager. Saradain rzgarda Yeurl,qui lui fit un nouveau signe. D'un geste il ordonna a ses guerriers de baisser leurs armes.
Les vivats des bretons ne faisaient que s'amplifier, l'esclave avait presque traversé la moitié de la plaine.
Avec nonchalance, Yeurl se pencha lentement et détacha de sa selle sa propre arbaléte a répétition. En apprétant son tir, il vit qu'un groupe de roturiers bretons s'était élancé pour aller chercher l'humain débraillé que la fatigue avait ralenti. Yeurl prit une inspiration, et ferma les yeux avant de presser la détente de l'arme. Le projectile traversa l'étendue de la prairie et il paraissait évident qu'il allait rater sa cible, mais sa trajectoire changea soudain et dévia vers la droite.
Le tir de l'arme magique pourchassait maintenant l'esclave, qui regarda par dessus son épaule et poussa un hurlement quelques instants avant que le carreau ne se fiche entre ses omoplates, le projetant en avant.
Les encouragements de l'ennemi se changérent en gémissements de dépit et en cris de colére.
"Et bien, Khalek ?" dit Yeurl avec suffisance, en étandant la ian pour désigner le carnage et les monticules de cadavres entassés qui souillaient l'herbe. "Il me semble que tu me disait quelque chose a propos des esclaves et des terrains découvert ?"
Khalek ne répondit pas et dissimula sa rancoeur, que Yeurl sembla cependant remarquer. Le jeune seigneur tendit sa main droite, paume ouverte, et resta ainsi pendant un instant. Une expression de mécontentement apparut rapidement sur son visage.
"Ma lance," lanca-t-i séchement ens e tournant vers l'elfe noir qui se tenait derriére sa monture et et s'avanca précipitament pour apporter une longue arme élancée.
Ce petit nouveau devrait faire des progrés s'il tenait a la vie, songea Yeurl en renfermant ses longs doigts sur la lance de cavalerie.
Deux rubans attachés a sa pointe flottaient au vent, l'un noir et l'autre d'un bleu glacial.
Faisant reposer son arme sur l'un des ses étriers ouvragés, il se tourna verssa gauche et parla aux autres chevaliers.
"Il semble que ces humains comptent se battre !"
déclara t-il avec un rictus, ce qui fit monter de l'unité de joyeuse exclamations. il enfonca ses éperons dans le flanc de son sang-froid pour ouvrir la marche et ses chevaliers se mirent en formation autour de lui.
L'infenterie les contourna par la droite et la gauche, et se mit a courir a couvert derriére des piles de corps d'esclaves.
"Je veux la téte de leur général !" rugit Yeurl qui se sentait envahir par la combativité. Son sang bouillonait dans ses veines et son coeur faisait dans sa poitrine plus de vacarme qu'un tambour de guerre.
L'anticipation du combat a venir lui faisait haleter tandis que son unité pivotais pour faire pace aux bretons qui semblaient détenir le plus grand étendard de l'ennemi. C'est la que devait sue trouver son adversaire désigné et Yeurl sourit interieurement. Un autre trophée ornerait les murs de son donjon lorsqu'il serait revenu Naggarong.
"Pour Tor Anlec !" hurla-t-il en faisant basculer sa lance a l'horizontal. Les humains tentérent une contre charge, mais les amas de cadavres entravaient leurs chevaux. Leurs hennissements mélés aux rugissements des sang-froid résonnérent aux oreilles de Yeurl. L'elfe noir voyait le général ennemi, dont l'armure dorée et polie luisait au soleil de midi. Il chevauchait un fier destrier noir, dont on eu pu penser qu'il ai été élevé a Naggarond, tant il semblait d'un tempérament sauvage. Sa main brandissant une épée, probablement bénni, songea Yeurl en pointant son arme vers lui.
Leurs regard se croisérent et l'humain leva sa lame, prét a frapper, son bouclier ramené contre sa poitrine pour détourner la lance de Yeurl.
Les yeux de l'humain se détournérent un instant lorsque sa monture trébucha sur un corps. Yeurl s'élanca alors en décalant la course de son sang froid vers sa gauche, et fit rapidement passersa lance dans son autre main. Le duc tenta de faire de meme avec son bouclier mais fut trop lent, la lance pénétra l'armure juste sous le bras qui tenait l'épée, faisant vider les étriers au breton. Le sang-froid se jeta sur le cheval noir et ses machoires se refermérent sur la gorge de l'animal dans une grande gerbe de sang. Hurlant de joie, Yeurl observa les alentours : tout autour de lui, ses chevaliers se battaient. Il y avait eu quelques pertes mais pas autant que chez l'ennemi.
"Abreuvez vos lames !" lanca t-il a ses compagnons, puis il jeta son arme brisée au sol et tira une longue épée de son fourreau. Une lance de cavalerie sortit de la mélée pour tenter de l'atteindre au visage mais Yeurl le détourna avec aisance d'un revers désinvolte, et sa contre attaque vint s'écraser sur le bouclier de l'humain qu'il fit presque tomber a bas de sa monture.
Au travers da sa visiére, Yeurl voyait le haine bruler dans les yeux de son adversaire et se sentit vivifié.
Meme si il nous haissent, pensa t-il, nous seuls savons ce qu'est la véritable haine. Il leva son épée en pousant un juron et détourna au dernier moment la trajectoire arrondie de son coup qui passa sous le bouclier de son ennemi et lui trancha la jambe a la auteur du genoux. Yeurl éclata de rire lorsque son adversaire tomba de son cheval dans un grand fracas métallique.
Les quelques chevaliers humains encore en vie tentérent de senfuir, mais les sang-froid les encerclaient et ils furent rapidement massacrés. Yeurl suffoquait presque et il fit tomber son casque au sol pour mieux respirer l'ai estival. Tout autour de lui, les corps des bretons, morts ou mourants, étaient éparpillés au milieu des cadavres d'esclaves. Ils on bien mérité cette mort infamante, se dit il. A sa droite, Saradain avait fait encercler les roturiers, dont beaucoup avaient rendu les armes. Protégeant ses yeux de l'éclat du jour, Yeurl en vit plusieurs centaines implorer sa pitié. Certains étaient bléssés, mais tous craignaient pur leur vie.
Yeurl était satisfait. Il descendit de son sang froid et chercha parmi les chevaliers morts le général qu'il avait vaincu. Il avait gagné plus d'esclacves que ceux qu'il avait été forcer de tuer et, en décapitant le corps sans vie du duc breton, il sentit la chaleur des rayons du soleil baigner son visage. Une bien belle journé, en effet.
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Légende
Pégase
